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"De la Madone à Maradona" de Boromée Baumann
Exposition du 25 septembre au 24 novembre 2024
Dans les ruelles de Naples, les frontières entre sacré et profane se brouillent et les images de madones côtoient celles des footballeurs. Le culte pour ces icônes populaires s’organise dans des chapelles présentes dans presque toutes les rues de cette ville du sud de l’Italie. Lors de son mémoire de master, Boromée Baumann a étudié ces chapelles votives, leur scénographie et les accrochages d’images et d’objets qui les composent. En exposant ses photographies prises sur
le terrain, elle cherche aussi à capturer le phénomène de sacralisation de certaines idoles sportives, devenues icônes. Au milieu des images chrétiennes de la vierge Marie, de la Madonna dell’Arco ou de San Gennaro, se cache souvent la figure du joueur de football argentin Diego Maradona.
Les événements autour de cette exposition
Vernissage/Brunch Expo "De la Madone à Maradona" de Boromée Baumann
le 29 septembre à 11h30 Gratuit sur réservation - à la Gare Robert DoisneauRéservez votre participation
Visite commentée avc Boromée Baumann
Le samedi 5 octobre à 15h00 Gratuit sur réservation - à la Gare Robert DoisneauRéservez votre participation
Visite à 2 voix de Souillac à Carlux
Le samedi 9 novembre 15h - 18h Gratuit sur réservation - Souillac / Gare Robert DoisneauRéservation : 06 76 36 93 00
"Cordes à linge" de Any GAUDIN
Exposition du 10 Décembre au 18 Janvier 2025
Vernissage de l’exposition Vendredi 13 Décembre à 18h00
Le numérique est arrivé...
Des années de formation à l’école des Beaux-Arts d’Orléans,
elle a conservé une grande sensibilité pour «la grammaire qui
sous-tend toute création artistique» et qui traduisent ses
compositions aux lignes et cadrages souvent audacieux dans
leur lumière sensible.
Pour Any Gaudin, tout fait image : les hommes et les femmes
de cette terre bien sûr, témoins d’un monde rural qui disparaît,
ou évolue, mais aussi les champs de noyers, les blancs des
brumes, les chaussettes et toute une triviales ribambelle
textile accrochée aux cordes à linge, la condensation qui fait
coaguler les vitres, les tunnels de fraisiers...
Son regard est tour à tour ethnographe, artistique ou
simple témoin, mais toujours empreint d’empathie, de
délicatesse, et souvent teinté d’humour. En un mot : Poétique